Découvrez notre offre de Prévoyance pour anesthésistes-réanimateurs, conçue pour mieux vous prémunir contre les arrêts de travail et vous permettre d’exercer plus sereinement au quotidien.
Pourquoi souscrire une assurance Prévoyance pour anesthésiste ?
Dans le cadre d’une incapacité temporaire de travail (ITT), un anesthésiste-réanimateur n’est plus en mesure d’exercer sa profession à 100 %. II devra donc se tourner vers la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) ainsi que la Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France (CARMF) pour obtenir des indemnisations durant son arrêt de travail.
Au-delà des 3 jours de carence, puis de la prise en charge par la CPAM jusqu’au 90ème jour inclus, c’est à la CARMF de verser ses indemnités journalières, et ce quel que soit le motif de l’arrêt de travail : maladie, hospitalisation, autre…Le montant des indemnisations dépend des méthodes de calcul propre à chaque régime obligatoire (CPAM puis CARMF). Elle peut dépendre du nombre d’année, d’affiliation, des revenus déclarés, ce n’est toujours simple de s’y retrouver. Le constat est souvent le même, les montants prévus ne sont pas suffisants pour couvrir ses besoins.
C’est pourquoi les anesthésistes-réanimateurs, tout comme les autres professions libérales médicales, ont tout intérêt à se prémunir en souscrivant une assurance Prévoyance, qui leur permettra d’obtenir un revenu qui complètera les indemnités versées par la CPAM et la CARMF.
Il s’agit donc d’une solution idéale pour pratiquer en toute sérénité, sans craindre les conséquences financières d’une éventuelle incapacité d’exercer.
Prévoyance et mutuelle : quelle différence ?
La Prévoyance ne doit pas être confondue avec la mutuelle (ou complémentaire santé). Cette dernière a pour rôle de rembourser les frais de santé engagés par l’anesthésiste-réanimateur durant une hospitalisation, pour l’achat de médicaments ou encore pour une consultation chez un spécialiste.
La Prévoyance, quant à elle, sert à indemniser le praticien en cas d’interruption temporaire de travail, qu’il s’agisse d’une incapacité totale ou partielle.
Anesthésiste-réanimateur : quels sont les risques ?
Comme toute profession, la spécialité d’anesthésiste-réanimateur est exposée à des risques d’accident susceptibles d’entraîner une incapacité d’exercer.
Un banal accident causant une fracture du poignet, par exemple, empêchera l’anesthésiste de réaliser certains de ses gestes les plus courants, comme la laryngoscopie. Il sera donc éloigné du bloc opératoire pendant plusieurs semaines au minimum.
Mais une telle fracture peut également avoir des conséquences plus graves, empêchant l’anesthésiste de pratiquer sur le long terme. Par exemple, une compression du nerf cubital peut entraîner une perte de force du poignet pendant plusieurs années, voire de manière définitive. C’est pourquoi il est indispensable de choisir un contrat qui déterminera l’invalidité uniquement sur la capacité à réaliser les gestes de votre spécialité. L’assureur parlera dans ce cas d’invalidité professionnelle.
Branchet : un contrat Prévoyance dédié aux anesthésistes
Que faire en cas d’arrêt de travail ? Une question que se posent de nombreux anesthésistes-réanimateurs en constatant que les indemnités prévues par les régimes obligatoires sont insuffisantes pour couvrir leurs charges fixes personnelles et maintenir leur qualité de vie.
Avec son approche pragmatique et progressive, Branchet propose des solutions de Prévoyance pour l’ensemble des médecins libéraux, qu’ils soient anesthésistes ou d’une toute autre spécialité médicale.
Lors de sa première prise de contact avec l’un de nos experts, le praticien se verra proposer une offre parfaitement adaptée à sa situation personnelle et professionnelle. Demandez votre diagnostic personnalisé :